« Je n’ai jamais souhaité rencontrer les gens que j’admirais »


Vite évacuer quelques lieux communs. Doué ? Oui. Discret ? Certes. Séducteur ? On le serait à moins… Voilà qui est fait. La suite ? Parler de son goût pour la provoc. Jean-Jacques Goldman n’aime rien davantage que le politiquement incorrect : « Tu aurais chanté à Longchamp si le Saint-Siège te l’avait demandé ? [les Journées mondiales de la jeunesse, un rassemblement organisé par l’Eglise catholique, avaient lieu à Paris en 1997, NDLR] – Oui, sans doute. Premièrement parce que ç’aurait été mal vu (sourire). Deuxièmement parce qu’il y avait plus de “scouts ridicules” catholiques dans la Résistance que d’intellectuels gauchistes. » (pas de sourire).
Voilà quelqu’un qui ne tient pas à ne se faire que des amis ou des admirateurs zélés. S’il « détonne » (sans jeu de mots), c’est parce qu’il est convaincu que l’on crève de faux-semblants, de sourires complices et de mensonges convenus. Alors il

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